Mondial 2026 : un parcours semé d’embûches
POUR L’ÉQUIPE DE FRANCE, LA ROUTE POUR LA COUPE DU MONDE 2026 PASSERA PAR UNE PREMIÈRE PLACE LORS DU TOURNOI EUROPÉEN, PROGRAMMÉ EN OCTOBRE, PUIS PAR LES WORLD SERIES EN 2025.
La Coupe du monde 2026 qui aura pour cadre l’Océanie puisque l’Australie et la Papouasie-NouvelleGuinée en seront les pays hôtes. À ce jour, huit pays sont qualifiés, les huit quarts finalistes de l’édition 2021 : l’Australie (le tenant du titre), les Samoa (finalistes), l’Angleterre, le Liban, la Nouvelle-Zélande, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Tonga et les Fidji. Il reste donc deux billets à distribuer. Ces derniers seront attribués lors des World Series 2025.
Forcément, L’équipe de France espère rejoindre ce top 10 mondial. Pour cela, les Bleus de Laurent Frayssinous vont devoir tout d’abord passer, en octobre, par des échéances européennes. Le 22, la pelouse du stade Albert-Domec à Carcassonne va accueillir le dernier carré continental. La Serbie affrontera le pays de Galles, la France sera opposée à l’Ukraine. De cette double opposition, Gallois et Français en sont les grands favoris. Les vainqueurs de ces demi-finales se retrouveront une semaine après à Perpignan pour la finale de la zone Euro.
RENDEZ-VOUS CAPITAL À L’AUTOMNE 2025
Les vaincus du premier tour disputeront eux une petite finale, le 26 octobre, laquelle aura son importance pour le classement international. Le vainqueur du match de Perpignan sera ainsi déclaré numéro 1 de la zone européenne et participera à l’ultime phase qualificative du World Series. Cette ultime compétition est programmée à l’automne 2025 et la nation organisatrice n’est pas encore connue.
On souhaite à la sélection française de se retrouver dans ce tournoi mondial à quatre, qui va comprendre, outre le vainqueur des qualifications de la zone européenne, les îles Cook, l’Afrique du Sud et la Jamaïque. Les deux premiers de cette compétition se qualifieront pour le Mondial 2026.
Pour le XII de France, la Coupe du monde en Océanie passera donc par deux échéances capitales à l’automne 2024 et 2025. Les Bleus ont ainsi du pain sur la planche.