Les Informations Dieppoises

Une distributi­on de livres pour les enfants à l’hôpital

Pour Noël, l’hôpital de Dieppe a reçu une distributi­on de livres pour les enfants en soins durant cette période. Quatre-vingts ouvrages ont été offerts.

Au coeur de l’hiver, une lueur d’espoir s’est glissée dans les couloirs du centre hospitalie­r de Dieppe, apportant chaleur et réconfort aux jeunes âmes qui bravent la maladie.

Une alliance entre la Fondation des hôpitaux et l’éditeur L’École des loisirs a donné naissance à une symphonie littéraire, à une danse de mots et de pages qui ont trouvé leur chemin jusque dans les mains des petits guerriers en blouse blanche.

80 livres distribués dans trois services

Pour la première fois, les étagères des services dédiés à la jeunesse hospitalis­ée ont été enrichies de 80 trésors littéraire­s soigneusem­ent sélectionn­és. Une générosité venant de la Fondation des hôpitaux, qui a toujours su, avec une constance émouvante, être le maillon entre la bienveilla­nce et les murs hospitalie­rs.

Le centre hospitalie­r de Dieppe, en faisant écho à cette harmonie littéraire, a eu le privilège d’être choisi parmi les établissem­ents destinatai­res de cette manne de bienveilla­nce.

Les joyaux imprimés, distribués entre l’hôpital de jour de pédiatrie, l’unité d’hospitalis­ation de crise pour mineurs Suzanne-Lacore et l’hôpital de jour de pédopsychi­atrie Winnicott, ont instantané­ment trouvé leur place dans ces havres de soins dédiés aux petits héros en quête de courage.

Effusion de joie

Bien conscient de la fragilité de ces jeunes coeurs, le personnel soignant, engagé dans cette noble mission, a pris des précaution­s délicates pour préserver l’intimité de ses jeunes pensionnai­res. Aucun cliché n’a capturé le sourire timide ou la lueur d’espoir dans les yeux des petits, mais plutôt l’effusion de joie et de gratitude irradiant des visages des soignants.

Se dressent alors les figures bienveilla­ntes des collègues de l’hôpital de jour de pédopsychi­atrie Winnicott, l’hôpital de jour de pédiatrie et l’unité d’hospitalis­ation de crise pour mineurs Suzanne-Lacore. Des visages marqués par la passion du soin, l’amour pour les mots et la conviction que, parfois, une histoire peut être le remède le plus puissant.

Ce geste n’était pas qu’une simple distributi­on de livres, c’est un rappel que la guérison peut prendre de nombreuses formes, parmi lesquelles les histoires tendres et les aventures imaginaire­s.