Le Pays d'Auge (Édition Littoral)

Avenue Marcel Liabastre : les travaux commencent lundi

Le tennis Club d’Honfleur était ce week-end à Villeurban­ne, dans la région lyonnaise, pour participer aux 8èmes de finale des championna­ts de France dans la catégorie des + 55 ans. Après leur succès au tour précédent contre les joueurs de Deuil-la-Barre, les hommes du président Pascal Ambos étaient opposés au Tennis Club de Lyon, un des favoris de la compétitio­n.

Pour la première fois à ce niveau, les tennismen honfleurai­s n’ont pas démérité en opposant des matchs de qualité faisant douter les joueurs lyonnais. Ceux-ci avaient dans leurs rangs le joueur Jean-François Lagloire classé ancien - 30 et actuelleme­nt un des meilleurs joueurs français de la catégorie.

Après une défaite logique de son capitaine et numéro 1 Denis Prentout, Honfleur a enregistré un nouveau revers au tie-break de Stéphane Joly, lors d’un match accroché, face à un joueur au classement supérieur.

La troisième rencontre s’est également soldé par une défaite logique de Jean-Luc Vimard opposé à un adversaire habitué à la surface particuliè­re des courts lyonnais. La paire Denis Prentout et Thierry Hoyez a conclu la rencontre, le score étant acquis en disputant le double mais elle s’est inclinée contre une forte équipe lyonnaise.

A noter que club du tennis d’Honfleur a bénéficié d’un prêt du véhicule du Groupe Mary afin que les joueurs puissent se rendre sur le lieu de leur compétitio­n en l’occurrence Villeurban­ne;

Le TCH continue sa bonne dynamique avec de bons résultats en championna­t par équipes et organise un tournoi multichanc­es ouvert aux joueurs de 3ème et 4ème série le week-end du 17 et 18 février.

Les travaux de rénovation de l’avenue Marcel Liabastre commencero­nt lundi. Une bonne nouvelle annoncée mercredi soir par Michel Lamarre, maire de Honfleur, et Didier Depirou, maire de la Rivière, tous deux chargés de ce dossier complexe. Depuis plus de six mois, la circulatio­n y est interdite sur un côté, par mesure de sécurité à cause de l’effondreme­nt d’une buse. Les travaux de consolidat­ion de la chaussée et le remplaceme­nt de la buse devraient durer quinze jours. « Et l’avenue pourra rouvrir à la circulatio­n ! »