L'Orne Hebdo

Alain Lassalle est un collection­neur chevronné de la marque Citroën

Président du Club Citroën France et originaire du Mêle-sur-Sarthe, Alain Lassalle a passé une quarantain­e d’années dans le domaine automobile. Aujourd’hui, il collection­ne plusieurs voitures et vit pleinement de sa passion, à fond la caisse !

- « ce qu’on appelait à l’époque

LE MÊLE-SUR-SARTHE. Né à Mortagne-au-Perche, Alain Lassalle a grandi au Mêle-surSarthe puis il s’est envolé pour faire son nid en région parisienne où il exercera plusieurs métiers dans l’industrie automobile. Retraité depuis 2013, il est actuelleme­nt président du Club Citroën France (CCF).

Dans les bois du château de Montgouber­t

Petit, Alain Lassalle a fait ses classes successive­ment à l’école Saint-Joseph au Mêle-sur-Sarthe puis au collège Giel Don Bosco à Giel-Courteille­s, près d’Argentan. « Moi, j’étais déjà passionné d’autos lorsque j’étais gamin, on fabriquait des caisses à savon », réplique Alain.

À Saint-Julien-sur-Sarthe, dans le bois du château de Montgouber­t, c’est avec ses amis d’école que le jeune Mêlois a appris à manier le volant. « Quand j’avais 14 ans, j’ai appris à piloter sur une 4 CV proto qu’on pouvait conduire dans les bois du château de Montgouber­t à Saint-Juliensur-Sarthe avec des copains que je fréquente toujours de l’école Saint-Joseph », se souvient le président du CCF.

Alain Lassalle a poursuivi ses études à Caen à l’Institut Lemonnier pour y faire

Bac F1 - génie en constructi­on mécanique ».

Puis, le jeune diplômé du Bac a quitté la Normandie pour le Centre-Val de Loire, à Orléans La Source, afin d’entamer un DUT mécanique automobile. Sa voie était toute tracée, le milieu automobile l’attendait.

Gravir les échelons

La carrière d’Alain Lassalle a commencé dans le XVe arrondisse­ment de Paris, au 53 rue Ballard. « J’étais entré comme technicien pour suivre les endurances moteur sur les voitures et sur les bancs au laboratoir­e d’essais Citroën » explique-t-il.

Il est alors resté sous la houlette de la marque aux deux chevrons de 1973 à 1989, avant d’être débauché par une autre entreprise française. «

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